Une quête envoutante.
La voie de l'errance
Une chronique
Quitter sa famille pour l’inconnu quand on a neuf ans, n’est pas facile. Quand il s’agit de perdre son identité, c’est pire. A cet âge, l’esprit de rébellion peut être très forte. La recherche des racines que l’on est en train de perdre devient une quête. Une quête qui va au-delà de sa propre volonté. C’est le début de l’aventure. Trois enfants, symboles de résistance Mongole face à l’institution chinoise. Guidés par leur désir de liberté, par les diverses rencontres, par la foi en leur rêve, ils avancent vers un but. LEUR but. Que trouveront-ils au bout du chemin? Est-ce une manière de se confronter à leur destinée propre?
La voie de l’errance
est un ode à la liberté. Une liberté qui peut être acquise très
chèrement. Chacun pourrait en sortir grandi. Chacun pourra se découvrir
et découvrir l’autre dans les épreuves. Dans l’amitié. Pour la vie. Pour
leur destinée. Nous assistons à un voyage initiatique. Les trois
fugueurs iront au bout d’eux-mêmes pour se découvrir. pour se connaitre
enfin. Pour comprendre leurs choix. Pour accepter leur destin. Qui
aurait pensé qu’un chant, fut-il chamanique, bouleverserait leur vie?
La voie de l’errance comporte
sept parties qui portent des noms d’animaux-totems. Ces animaux qui
illustrent les caractères, les aventures de chaque enfant. La lecture se
fait d’une traite tant l’aventure de ces jeunes nous intrigue et nous
rend addictifs. La voie de l’errance
ne raconte pas une banale errance. Mais raconte une vie. Des vies. Des
personnes à la recherche d’eux-mêmes et de leur idéal. Vont-ils le
trouver? Dans combien de temps? Ce roman est un chant de liberté. Un
chant de conquête. Conquête de soi. Conquête des idéaux. Conquête de la
liberté. Une liberté chèrement acquise. Mais, profondément méritée. Une
quête de liberté sur la voie de l’errance.
https://litteratutemltipleunerichesse.wordpress.com/2019/03/22/la-voie-de-lerrance-jean-luc-bremond-2019/
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