Une réflexion sur les dimensions dans la personne : son rapport au temps, ses émotions et ses relations. Un changement par l’observation.

Les dimensions : du temps à la relation, en passant par l’émotion
Partant du principe que nous sommes des animaux sociaux, comme ceux sauvages confrontés à la mort, nous nous débattons dans la peur, le plus souvent sociale, de l’échec à l’impuissance, de la faiblesse à la lenteur, victimes d’un prédateur et dans l’attente d’un sauveur : l’équilibre entre l’intérieur et l’extérieur.
Le temps
Notre rapport au temps conditionne nos comportements. Interroger l’endroit du passé, présent et futur, leur lien ou leur âge pour comprendre s’ils fusionnent ou clivent nos souvenirs comme nos espoirs, afin de les remettre à leur juste place.
Un objectif sans date est juste un rêve
M.Erikson
Les émotions
Les émotions ne peuvent physiquement pas mentir. Les questionner, comme pour le temps, pour en avoir une meilleure compréhension ou ressentis et en modifier notre représentation. Elles sont souvent plus liées aux besoins d’appartenance ou d’accomplissement que les besoins physiologiques à sécuriser. Repartir du « je suis » au « je comprends » est un long chemin de lucidité, du corps vers l’esprit, en passant par le cœur, pour nous exprimer, créer et nous relationner. https://www.jeanlucbremond.com/les-croyances-et-les-emotions/
La relation
Tout est relation. La frontière dit : « non ! » pour protéger le corps et chérir le précieux. Trop de fois ; c’est la séparation. Nous nous relations au monde avec ceux que nous contenons et projetons ; nous le percevons en nous identifiant à nos schémas internes et nos stratégies de défense ou d’affirmation. https://jlbecrit.ovh/fiction-sur-la-traversee-en-communaute/
Les dimensions et la frontière
À l’intérieur de la frontière, l’enfant libre satisfait ses besoins fonctionnels, avec expérience, plaisir, émotions et positivité, sans se soucier de la responsabilité ; il se soumet, se rebelle ou exprime sa créativité. À l’extérieur, le parent responsable permet la socialisation, sous contrôle, avec la puissance de l’idéal ou de l’envie, au risque de la culpabilité ; il encourage ou limite l’expression. En équilibre dans la réalité, l’adulte cohérent négocie l’adaptation à l’instant présent ; il ne contient pas de négativité. La relation à soi-même et aux autres est faite de demandes et réponses simples ou compliquées pour ne pas s’ennuyer et combler la solitude par des occupations ou distractions.
2 réponses sur « Les dimensions dans la relation »
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